Saison actuelle
La saison des neiges, ou saison de la nuit dans le nord du monde. La neige recouvre la terre et la nuit quasi-perpetuelle couvre le septentrion.
a very bad time — altaras
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a very bad time — altaras

Altaras
Altaras
P'tite crapule
Messages : 12
Date d'inscription : 22/11/2016
Localisation : Oui.
Profession : Oui.
Mer 23 Nov - 12:37
Altaras
Personnage
Derrière l'écran
✥ Prénom : Altaras.
✥ Nom : ?
✥ Âge : 16 ans.
✥ Région d'origine : Nui.
✥ Localisation actuelle : Ypsokhrisòs.
✥ Emploi/statut : Sans emploi.
✥ Orientation sexuelle : Hétéro.
✥ Situation amoureuse : Célibataire.
✥ Sang pur/sang mêlé : Sang pur, il possède des attributs canins. Il est capable de se transformer en chien et il commence tout juste à le maîtriser.

✥ Pseudo : a bad time
✥ Age : Oui.
✥ Autres forums : Oui.
✥ Ce que t'aimes dans la vie : Oui.
✥ Personnage sur l'avatar : Léo Valdez (Percy Jackson & the Olympians)
✥ Code du forum : Validé par Rani
✥ Une parole pour finir ? :  Oui.

Apparence et personnalité


Le plus paradoxal chez Altaras, c’est sans doute sa façon presque spectaculaire d’ignorer ses propres problèmes. C’est quelqu’un de complexe, la tête bourrée de souvenirs et de sentiments à en rendre fou plus d’un - empli d’une telle rancœur qu’il aurait pu en devenir un monstre d’amertume et de méchanceté. Et pourtant, c’est loin d’être son cas - et comme personne n’explique la défaite de la France à la dernière Coupe du Monde ou le vote américain, sans raison apparente, Altaras est devenu l’exact opposé de ce qu’on attendait. Il n’est pas dénué d’émotions négatives, bien au contraire, mais il adopte l’univers avec une telle légèreté et un tel humour qu’il est presque imperméable à la dépression. C’est plus fort que lui. Il a beau y penser, l’idée de broyer du noir ne convient pas au nuilyen - il est simplement incapable d’observer les choses sous un voile de sérieux trop répandu. Son ironie ne le quitte jamais, les remarques les plus idiotes fusent dans sa tête en toutes circonstances - faisant passer les comparaisons stupides ou les blagues inutiles avant la pertinence. Il pourrait bien être à la merci d’un ours qu’il trouverait le temps de lui reprocher son haleine - ou traqué par un viridien qu’il lui demanderait si sa tenue sauvage tiendrait d’un attrait pour l’exhibitionnisme. Altaras n’est pas quelqu’un d’intelligent, pas un  leader ni même le relou du groupe qui vous inonde de blague.

Altaras c’est cette conscience simple qui recherche à la normalité, une personne qui se voit dépassée par les circonstances avec pour seule réponse de les tourner sous le ridicule de ses blagues. Un gamin plutôt fin, un simple mètre quatre-vingt quinze aux airs de lutins, nez et oreilles pointues accentués par un regard malicieux et un sourire en coin. Altaras a la peau mate et des cheveux bouclés et il habille souvent sa faible carrure de vêtements simples dont le confort passe avant l’esthétisme - se moquant généralement bien de se salir. Si la vie était un roman, il serait parfait pour en faire la narration tant il est observateur, et pourtant, un trou dans le pantalon d’un dangereux guerrier retiendrait plus l’attention du nuilyen que n’importe quelle arme mortelle. C’est quelqu’un de simple, au final : un gars sympa, souvent relax, protecteur avec ses proches et capable de s’énerver ou de prendre la situation avec trop de légèreté - cette dernière caractéristique le rendant souvent incapable de diplomatie. C’est ça, son gros défaut, cette façon d’être si imprévisible, comme un ouragan qui frappe aléatoirement sans pouvoir se canaliser.

Histoire

Pour Altaras, ça allait déjà mal avant qu’il ne devienne un animal.
Il s’était réveillé ce matin-là avec un sacré mal de tête et l’impression qu’elle pouvait exploser à tout moment, en partie parce que c’était littéralement vrai - bien que l’homme en face de lui n’ait pas dégainé son arme, Altaras voyait à son regard qu’il n’attendait que ça. Cet homme lui était hostile. Sitôt, alors qu’il tentait de se remémorer les circonstances de son arrivée ici, il se promit de garder pour lui son habituelle ironie. Il avait déjà assez de problèmes comme ça, ce n’était pas la peine de donner une raison à cet homme de lui couper la tête, si tant est qu’elle pouvait le faire souffrir davantage. Pour un peu, Altaras était tenté de faire la comparaison. Il cligna des yeux et se redressa, constatant qu’il était assis dans le bureau d’un homme à l’air grave, bras croisés et avec cet air de quelqu’un qui serait prêt à rappeler à tout moment la hiérarchie de cet endroit - quand à lui, il était à peine réveillé et il était drapé d’une couverture. Il n’était pas prisonnier. Il n’avait rien fait de mal.
Pourtant, il savait que ce n’était pas vrai - s’il avait songé être enfermé à son réveil, ce n’était pas sans raison, et malgré tout, Altaras n’aurait su expliquer la véritable raison. Pour une fois qu’il n’avait pas fugué, il fallait que quelque chose, à nouveau, lui arrive.

« Tu te souviens de quelque chose ? »

Voilà. Pas de « salut, comment ça va ? » sur un ton sympathique et d’une voix compréhensive, tandis que le soldat se présenterait avec un de ces prénoms qu’Altaras n’imaginait pas que quelqu’un porte avant la quarantaine. Non, rien de tout ça. Il avait passé l’âge. Il avait seize ans, aujourd’hui-même d’ailleurs - un détail qu’il garda pour lui : il n’aimait pas parler de son anniversaire. Devoir s’imposer les remarques des autres s’efforçant  de lui rendre la journée intéressante malgré sa monotonie, c’était franchement déprimant, et il ne voulait  imposer ça à personne - si tant est que ça intéressait quelqu’un. Parfois, Altaras regrettait de grandir aussi vite. Sa grand-mère lui manquait, et à vrai dire, le fait que quelqu’un s’occupe de sa personne lui manquait. Il se présentait comme téméraire, casse-cou et ne se défilait jamais lorsqu’il faisait face à un défi.
Pourtant, lorsqu’il s’arrêtait de bouger quelques instants pour y penser, Altaras était effrayé. Il redevenait le gamin de 7 ans qui avait dû enterrer sa grand-mère, dernier membre de sa famille, ou tout du moins, le dernier qui se souciait de sa présence.

À cette idée, il serra le poing à s’en blanchir les jointures : c’était ça, l’image qu'il avait de ses parents. Envolés à sa naissance sans jamais revenir. Plus jeune, Altaras avait bien tenté de questionner sa grand-mère, mais sitôt qu’elle en parlait, sa lèvre tremblait et il sentait qu’elle se mettrait à pleurer s’il insistait. « C’est pas grave, disait-il. Je m’en fiche. Ils ne se sont jamais intéressés à moi, de toute façon. » Et puis, un jour, elle était morte, presque trop brusquement. Altaras lui en avait presque voulu d’être partie sans rien lui dire, et il avait fini par tourner le dos à tout ça. Il avait cessé d’attendre que quelqu’un vienne le chercher. Malgré tout, à côté de ça, il ne se sentait à sa place nulle part. Il n’était jamais resté au même endroit plus de quelques mois : il ne se souvenait pas de tout, non, mais les souvenirs étaient généralement désagréables.

« Ils ont dit que c’était le feu qui s’était répandu en dehors de la cheminée. »

Altaras détourna le regard, cherchant à expliquer, voire à s’expliquer lui-même ce qu’il avait vu. Non. Ce qu’il avait fait.

« Je me moque de ce qu’ils ont dit. Je veux ta version de l’histoire, petit. »

Depuis toujours, Altaras avait eu ces problèmes. S’il pensait qu’on l’eut enfermé, c’est parce qu’il savait qu’un jour, il finirait comme ça. Avant même ça, il n’avait pas une grande estime de lui : un gamin délaissé par ses parents, recueilli par sa grand-mère décédée dans sa jeunesse et qui fuyait toutes les personnes à même de le garder, incapable de s’intégrer à la normalité. Quelque part, il n’était pas certain d’essayer, et il n’avait pas envie de le faire. La déception, honnêtement, c’était pas son délire.
Si Altaras avait apprit quelque chose de sa pitoyable vie, c’est qu’il ne servait à rien de faire confiance aux autres - et c’était la même chose pour cet homme en face de lui. Il la jouait cool, malgré son air dur, mais c’était juste une façon de l’approcher : il ne pourrait pas l’aider et il ne chercherait même pas à le faire.

« Je sais pas quoi vous dire., lâcha-t-il en haussant les épaules. C’est pas moi qui ait mis le feu. Le ragoût de la vieille a beau être dégueu’, il me donne pas de gaz aussi puissants. »

L’homme pinça les lèvres avec agacement. Bingo, se dit Altaras. Il s’accorda un sourire en coin, soutenant le regard de l’homme avec une fierté nouvelle. Il l’avait compris et déjoué si facilement qu’il se demanda s’il n’était pas trop habitué à cette situation. Altaras se donna quelques instants pour observer l’endroit autour de lui. C’était un Pacificateur, peut-être ? Qu’avait-il fait de mal ?  Au fond, qu’est-ce que ça pouvait bien faire ? La vieille dont il parlait, c’était la famille dans laquelle on l’avait collé. Une religieuse à la retraite qui semblait vouloir se reconvertir dans l’éducation, en plus de celle de ses deux enfants qui ne semblait déjà pas brillante. C’était plutôt craignos, cette maison, et la mauvaise cuisine de la maîtresse de maison n’arrangeait pas les choses.

« On laisse tomber la méthode douce, donc ? »

La méthode douce. Sérieusement ? Altaras voulait bien croire que ce type-là faisait preuve de retenue, mais il parlait de douceur comme s’il était en position de lui faire sa fête. Le ridicule de cette pensée ne contribua pas à effacer son sourire ironique et Altaras dût se faire violence pour ne pas pouffer de rire Il n’était pas méprisant, loin de là. Il avait beaucoup de défauts, mais ce n’était pas une mauvaise personne.

« Je me suis renseigné à ton propos Altaras. (Ce se retint de lever un sourcil en lâchant un spectaculaire « Vraiment ? » pour montrer combien il était impressionné.) Tu as fugué de nombreuses fois depuis le décès de ta grand-mère. Au début je me disais que tu refusais d’avoir une nouvelle famille mais maintenant je pense que tu essaies de fuir ces problèmes que tu causes. »

Surprise. La vraie, cette fois - et il faut un instant à Altaras pour remettre les rouages de son cerveau en marche. Ce type a déduit quelque chose qui n’est pas totalement exact mais qui n’est pas dénué de raison. Il n’a pas tort : Altaras avait abandonné l’idée de fuir. Il n’avait nulle part où aller et avec l’âge, il avait apprit à jouer un jeu. Masquer sa souffrance, sourire, blaguer, faire semblant d’apprécier les plus détestables. Mais les problèmes avaient commencé l’année de ses douze ans. La première fois, chez ce jeune couple de marchands, il avait accidentellement (et sans griffes) déchiqueté une caisse entière de fruits. La fois d’après, il avait attrapé dieu-sait-comment la poule du marchand voisin Et après ça… bref, vous avez compris. Altaras n’était à sa place nulle part, mais c’était comme si la nature elle-même essayait de le lui faire comprendre. Même s’il avait voulu en parler à ce type-là, il n’aurait rien pu y faire, à supposer qu’il le croit.

Il imagina la suite de cette journée : il aurait été renvoyé dans l’orphelinat d’où il venait et qui prenait en charge les jeunes comme lui, jusqu’à ce qu’une famille, souvent un couple incapable d’enfanter ou à la recherche d’une rédemption quelconque, cherche à l’adopter. Altaras avait toujours eu du succès - avec sa peau bronzée et ses cheveux noirs bouclés, il avait un parfait visage d’ange. Le problème, c’est qu’ils n’avaient pas le temps de comprendre leur erreur qu’il avait déjà fugué. Il avait beau détester les familles, Altaras détestait encore plus cet orphelinat - c’est comme si le personnel n’essayait même plus de faire des efforts pour les enfants qu’ils gardaient.
Seulement, ce ne fut pas comme ça que les choses se terminèrent : l’homme lui proposa de le garder ici. Le Purificateur qui l’avait ramené à son lieu de travail lui proposait de l’adopter. Altaras avait cessé de se méfier des gens louches depuis qu’il avait compris qu’il était le plus gros représentant de cette catégorie, mais lorsque ce type affirma avec cette étrange certitude qu’il connaissait l’origine de ses problèmes, Altaras eut envie de rire. Il avait hésité à fuir sur le champ - refusant de laisser sa chance à ce type qui affirmait tout savoir de lui. Quelle blague. S’il avait su que son explication serait ridicule, il serait parti sur le champ.

« Tu es capable de te transformer, comme nos ancêtres, comme tes parents avant toi. Tu es né avec des dons dont tu ne sais pas te servir. »

Euh, ouais, ok. Altaras leva un sourcil d’incompréhension. Il balaya du regard le salon dans lequel l’homme l’avait amené, un modeste appartement dans le centre ville, à la recherche de cadavres de bouteille. Le plus étrange, c’est qu’il ne trouvait presque aucune affaire, comme si cet homme ne s’était pas installé dans sa propre maison. Cette pensée fit naître une boule d’inquiétude dans l’estomac d’Altaras, qui eut un mouvement de recul.

« Ouais, euh, je pense que tu as pris des trucs pas saints, et mon seul pouvoir, c’est celui d’avoir des emmerdes. C’est bon, tu me ramènes maint— » 

Sa voix mourut dans sa gorge quand, sous ses yeux, le visage de l'homme se tordit de douleur. Le garçon avait levé ses sourcils d'incompréhension, s'apprêtant à demander la présence de constipations anales chez cet homme qui se courba dans une position aussi étrange qu'hilarante - et Altaras aurait certainement rit s'il n'avait pas entendu ces craquements à en avoir des cauchemars. Maintenant qu'il repensait à cette scène, il ne saurait pas la recenser comme la création du film pornographique ou comme l'instant le plus effrayant de son existence. D'ailleurs, si Altaras n’était pas confortablement installé sur un canapé qui faisait deux fois sa masse, il serait tombé à la renverse dessus. De la magie. Toutes ses remarques ironiques s’effacèrent de son esprit en même temps que la possibilité d’un refus, puisqu’au fond de lui, il savait que c’était la vérité. Avec ça, tout prenait sens. Les fruits, la poule - c’était l’oeuvre d’un animal. Altaras avait parfois songé à devenir végétarien puisqu’il considérait qu’il s’agissait de l’unique bonne action qu’il serait jamais capable d’effectuer : ce plan tombait définitivement à l’eau. Il fallut un bon moment à cet homme pour reprendre sa forme originelle, mais le gamin n'aurait pas su le voir comme avant - il était capable de magie, et lui aussi, d'après ses paroles. Altaras passa les heures suivantes à bombarder l’homme de questions. Il affirmait être un Purificateur et travailler au service de l’ordre, un métier pour lequel il pourrait former Altaras.

C’était tentant. Toute sa vie, Altaras avait cherché sa place. Sa grand-mère lui manquait. Ses parents, bien qu’il ne l’admettrait jamais, lui manquaient. À présent, au fond de lui, il gardait l’espoir que ses parents appartiennent à ce monde si dangereux dont ils avaient voulu le protéger - les dons, la gestion de l’ordre, les combats pour des habitants. Peut-être même qu’ils avaient envoyé cet homme pour venir le chercher ? Il aurait voulu les rencontrer, ne serait-ce que pour avoir la chance de leur mettre son poing dans leur figure. Seulement, c’était ridicule, il le savait. Ses parents avaient disparu ou étaient morts. Altaras avait peur de la vérité, aussi, il préféra ne pas les énoncer devant cet homme, mais son trouble ne lui échappa pas. Il avait déjà fait bien assez pour lui.
Quelque part, Altaras n’aimait pas cette idée de maintenir l’ordre. Il aimait bien trop sa liberté pour accepter de se mettre au service d’une organisation. Ça, pour l’heure, il préféra le garder pour lui - cet homme avait fait des efforts pour lui, et Altaras comptait le lui rendre.
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Aïva
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Mer 23 Nov - 14:57
Aïva
Bienvenue !

Oh. Oh. Bienvenue petite bouille ! ;w; Ooooh, un homme-chien. Ooooh, un Popokhrisièn. Ooooooh, il est joli ton prénom. **
Tu l'auras compris, j't'aime déjà p'tit loup.

N'hésite pas si tu as des questions ou des doutes. <:

Si tu as des interrogations, tu peux toujours te référer au guide du débutant, à la FAQ ou bien encore aux différents ouvrages de la bibliothèque.

D'ailleurs, est-ce que tu as lu le règlement, le contexte ainsi que les informations sur les groupes ? Tu pourrais probablement y trouver les parties du code nécessaire à ta validation.

Si tu as encore des questions après la lecture, n'hésite pas non plus à nous MP, nous serons ravis d'y répondre !
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Jetem. ♥
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Altaras
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Mer 23 Nov - 21:13
Altaras
Nihal : Merci pour ton accueil et tes super compliments a very bad time — altaras  3640435339 Ne t'en fais pas, j'ai déjà tout lu mais je ne manquerai pas de te mp si j'ai un soucis a very bad time — altaras  1661965797

Fyra > Jetem ♥️



MA FICHE EST FINIE.
JOIE ET FIERTÉ.
Ces smileys gèrent. Merci à tous.

a very bad time — altaras  3559187107 < Moi.
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Rani Thistleheart
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Jeu 24 Nov - 0:40
Rani Thistleheart
Eh je te l'avais pas dit sur ta fiche mais.

Salut bro, bienvenue bro, je t'aime bro.

ALLEZ SLT.
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Altaras
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P'tite crapule
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Jeu 24 Nov - 15:46
Altaras
Salut sis, merci sis, je t'aime sis.

a very bad time — altaras  343099384
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Osa'alia
Osa'alia
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Jeu 24 Nov - 16:13
Osa'alia
Un petit souciii !

Alors, alors. Déjà, bravo d'avoir terminé la toute première fiche de présentation sur Osa, c'est émouvant. a very bad time — altaras  1068488960 J'ai beaucoup aimé la lecture, tu as une plume très... uh... facile à apprécier ? Son caractère est tout doux. Un vrai petit bout de sucre ! Breffeu.
Mon principal problème vient de l'histoire. Je pense qu'il y a une petite incompréhension du côté des hommes-bêtes. La transformation n'a pas lieu comme ça en lâchant un pop sauvage. Ce que je veux dire c'est que, même s'il est adulte et se maîtrise aisément, la mutation ne se déroule pas en un battement de cils... C'est une accumulation de craquements d'os, de gémissements et de souffrance. Il ne faut pas oublier que c'est tout de même un passage d'une forme humaine à une forme animale.
Qui plus est, la transformation est épuisante et ne peut être effectuée en sens inverse qu'après un moment. Par conséquent, le Purificateur ne peut se métamorphoser aussi facilement... >: Et encore moins reprendre forme humaine aussi spontanément.

Ensuite, les Purificateurs ne sont pas des policiers mais bel et bien des soldats. Du coup, j'aimerais que tu modifies simplement le terme qui n'est pas exact dans cette phrase-là :

Altaras a écrit:
Pas de « salut, comment ça va ? » sur un ton sympathique et d’une voix compréhensive, tandis que le policier se présenterait avec un

Voilà. Cela semble peut-être un peu pointilleux mais... >w<
En tout cas, merci pour la lecture et bon courage ! <:
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Altaras
Altaras
P'tite crapule
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Localisation : Oui.
Profession : Oui.
Jeu 24 Nov - 17:16
Altaras
COUCOU
Merci pour tes compliments a very bad time — altaras  1871477911

J'ai modifié le passage par rapport à la transformation :

Citation :
Sa voix mourut dans sa gorge quand, sous ses yeux, le visage de l'homme se tordit de douleur. Le garçon avait levé ses sourcils d'incompréhension, s'apprêtant à demander la présence de constipations anales chez cet homme qui se courba dans une position aussi étrange qu'hilarante - et Altaras aurait certainement rit s'il n'avait pas entendu ces craquements à en avoir des cauchemars. Maintenant qu'il repensait à cette scène, il ne saurait pas la recenser comme la création du film pornographique ou comme l'instant le plus effrayant de son existence.
+
Citation :
Il fallut un bon moment à cet homme pour reprendre sa forme originelle,

Et j'ai modifié "policier" pour "soldat" !
Voilà a very bad time — altaras  3559187107
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Osa'alia
Osa'alia
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Date d'inscription : 17/11/2016
Jeu 24 Nov - 17:44
Osa'alia
Validation !

T'es un amour, hue a very bad time — altaras  462772726
Du coup, je n'ai plus aucune raison de ne pas te valider, du coup. Merci pour ta rapidité et ta compréhension ! GOOD JOB :luv:

Tu peux désormais aller recenser ton avatar, faire ta fiche de liens si tu le désires, ouvrir un journal pour tenir tes rps à jour et aller demander un rp.

En te souhaitant une belle aventure dans le monde d'Osa'alia !
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